Votre « panorama complet de l'édition en France » est incomplet, ignore la prophétie de Stéphane Ternoise : L'auto-édition est l'avenir de l'édition.
Votre rapprochement avec le monde agricole était pertinente. Mais vous n’avez malheureusement pas creusé votre analyse du choux fleur... « l’essentiel de la marge ne va pas au producteur »... et bien si, parfois, dans le monde agricole, la marge revient au producteur, quand il parvient à se passer d’intermédiaire, à écouler sa production sur les marchés... certes impossible pour l’agriculture industrielle mais fréquent dans l’agriculture artisanale, celle où une famille vit sur une petite exploitation.
Pour le livre c’est équivalent : l’édition industrielle ne peut se passer d’intermédiaires mais l’écrivain artisan vit de sa plume... loin du brouhaha et des médias.
Vivre de sa plume était l’objectif de Stéphane Ternoise, trente-sept ans, huit livres publiés. Il est désormais travailleur indépendant. Après avoir vécu du Rmi. Il n’a jamais demandé la moindre subvention. Plutôt rmiste que subventionné...
Lettre ouverte... plus rapide et efficace de la référencer sur internet que de l’envoyer !
Après avoir emprunté LIRE à la bibliotheque de Montcuq
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